Concert en «i» jaseur

De mon lit à l’aurore j’ouïs
Des oiseaux les gentils «coui coui»
Aux plus grands délices de mon ouïe
Ébahi par ces «i» inouïs

Aspiré par cette mélodie
Mon corps et toutes ses parties
S’éveillent à nouveau à la vie
Qui très vite me tire du lit

Le dialogue se poursuit
De longs «i» suivis de petits
Comme pour dire merci à la vie
Qui veille aux nids des petits

Puis petit à petit les bruits
Stridents des épieurs de débris
Enterrent de leur cacophonie
Les coui coui si chers à mon ouïe

Résistent quelques cris de pies
Qui vite capitulent sans bruit
Les «couas» envahissant les «i»
Au grand déplaisir de mon ouïe

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