Blues de l’hiver

L’hiver n’en finit plus de rendre l’âme
Rendant ainsi infâme mon vague à l’âme
L’hiver n’en finit plus de persister
Rendant ainsi buée mon souffle gelé

Tous les matins sifflent le vent
Les arbres n’en finissent plus de ployer
Tous les matins flocons au vent
Pauvres oiseaux ont peine à chantonner

Que vienne brise légère
Caresser lasse peau
Et changer neige en eau

Que vienne vive lumière
Éclairer jours trop courts
Et faire luire doux amours

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