L’être humain…

Avec deux oreilles et une seule bouche, l'être humain devrait écouter deux fois plus qu’il ne parle.

La plupart des gens entendent le chant des oiseaux mais peu écoutent leur mélodie.

Essayer d’aimer quelqu’un sans s’aimer soi-même, c’est un peu comme espérer habiter un château de cartes.

Heureux les gens qui ne sont sûrs de rien car ils ont encore beaucoup à apprendre.

L’être humain est parfois comme une voiture dont le moteur flanche malgré la belle apparence.

La sérénité est le reflet d’un intérieur en paix.

Mieux vaut être petit et sage que grand et puissant.

Les souvenirs sont des illustrations qu'on devrait feuilleter en période de sérénité.

La frustration est mère de l’agressivité.

L’être humain parle souvent des autres, pas assez aux autres.

Notre intolérance face aux défauts des autres reflète souvent ces mêmes défauts en nous.

Le conseil se présente comme un visiteur à qui on décide d'ouvrir la porte.

La gloire et l’honneur ne sont qu’artifices qui éblouissent pour disparaître l’instant d’après.

On voit souvent beaucoup plus clairement dans nos pensées les yeux fermés.

Pour mieux accompagner l’adolescent, mieux vaut accepter de prendre les montagnes russes avec lui.

L'émotion refoulée au fond de soi refera surface tôt ou tard.

Certaines personnes refusent d’être heureuses de peur d’être malheureuses.

Les êtres qui placent leur carrière au-dessus de tout risquent de vieillir bien seuls.

La plus grande qualité est d'avoir l'humilité d’avouer ses torts.

L’homme est ainsi fait qu’il investit des milliards pour la conquête de l’espace pendant que des terriens meurent, faute de ressources pour les chercheurs.

Les valeurs profondes sont la nourriture de notre intérieur.

L’attention et le respect pour l’autre alimentent les racines de sa croissance personnelle.

Les yeux ne mentent pas pour autant qu’ils regardent dans les yeux de l’autre.

Le sentiment d’utilité est source de vie.

La retraite ne doit pas représenter la fin d’une vie harassante mais la porte de la sérénité.

Le préjugé se dresse telle une muraille devant la beauté du paysage.

L'équilibre se situe entre la sagesse et la folie.

La critique est au faire ce que l'indifférence est au non-faire.

Vaut mieux être un cocu consentant qu'un cocu ignorant.

La hargne est l'ivraie de la lucidité.

L'écriture demeurera jusqu'à la fin mon meilleur exutoire. 

Laisser un commentaire

Vous devez être connecté pour laisser un commentaire.
Accéder à la page de connection.
Créer un compte sur henrimarineau.com.