À la maison, Harper
Depuis quelque temps, l’ex-premier ministre canadien Stephen Harper refait surface dans les médias. Ainsi en est-il, par exemple, de sa rencontre à la Maison-Blanche, en juillet, avec le conseiller économique Larry Kudlow, sans en avoir avisé le bureau du premier ministre.
Récemment, il a affirmé que Justin Trudeau voulait tirer des bénéfices politiques en tenant tête aux Américains dans les négociations sur l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA).
Stephen Harper a fait son temps. Qu’il se retire à la maison et laisse les élus faire le leur. Le temps des belles-mères est révolu!
Le Devoir 23 juillet 2018
Henri Marineau

