Sécurité ferroviaire: être proactif

En France, l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (INERIS), où travaillent un effectif de 558 personnes, dont 341 ingénieurs et chercheurs, a pour mission de contribuer à la prévention des risques que les activités économiques font peser sur la santé, la sécurité et l’environnement.

Compte tenu que le transport ferroviaire est de juridiction fédérale et que le gouvernement Harper semble plutôt lent [et c’est un euphémisme] à réagir à la tragédie de Lac-Mégantic, pourquoi le gouvernement québécois ne mettrait-il pas sur pied un organisme semblable à celui de la France qui pourrait relever, par exemple, du ministère de la Sécurité publique?

En agissant unilatéralement de la sorte, le gouvernement du Québec ferait preuve de leadership et d’innovation en posant un geste proactif et non pas comme le fait actuellement le Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST) qui se trouve placé devant le fait accompli.

quebechebdo 17 juillet 2013
vigile.net tribune libre 17 juillet 2013 

Laisser un commentaire

Vous devez être connecté pour laisser un commentaire.
Accéder à la page de connection.
Créer un compte sur henrimarineau.com.