Une étoile s’est éteinte

Un mois après le grand départ de Johnny Halliday, la chanson française vient de s’endeuiller à nouveau avec le décès d’une icône des années 60, France Gall, celle que l’on surnommait affectueusement la « poupée blonde ».

Comme une foule de ses admirateurs, France Gall aura marqué mon adolescence, particulièrement avec ses premières chansons, telles Sacré Charlemagne et Poupée de cire, poupée de son que nous fredonnions sans nous lasser entre copains et sur lesquelles nous dansions lors de nos rencontres sociales du samedi soir.

France Gall n’avait pas la force de la voix de certaines chanteuses. Toutefois, la limpidité de sa voix amalgamée à la sincérité de l’interprétation de ses chansons réussissait à nous envoûter tel un voile d’intimité qu’elle déposait tout doucement sur elle et nous. 

Enfin, parmi les milliers de commentaires qui ont circulé sur la Toile depuis l’annonce de son décès, je retiens celui de Lara Fabian pour sa justesse : « Elle avait ce tout petit supplément d'âme, cet indéfinissable charme, cette petite flamme dans le regard », un regard qui restera gravé longtemps dans nos mémoires!

vigile.net tribune libre 10 janvier 2018
 

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